La mousse si modeste, ignorée des promeneurs, s’accorde avec le temps qui passe et se dépose sur les pierres, pour faire du minéral, une douce caresse…
Et comme le chantait Henri Salvador, avec des paroles de Maurice pon:
Le loup, la biche et le chevalier..
Une chanson douce,
Que me chantait ma maman
en suçant mon pouce
J’écoutais en m’endormant.
Cette chanson douce,
Je veux la chanter pour toi,
Car ta peau est douce
Comme la mousse des bois……etc
« La même caresse se lit au fond de tes yeux…. »
Merci, pour cette tendre pensée